Stratégie e-commerce
E-business plan théoriques pour une entreprise lamda :
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E-business et informatique
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Développement d’Internet
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Démarches entreprises sur le web
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Cahiers des charges théoriques
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Cahiers des charges réels
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Méthode utliser pour le maintien du systemes information et de production en général
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Optimisation des couts et des investissement dans l'entreprise en général
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Variation du cahiers théorique par rapport a l'irrationnaité et les contraintes
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Audit réel des couts et des gains de l'ensemble du systeme de l'entreprise
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L'internet
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L’Intranet
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L'extranet
L’entreprise et son concept philosophiques, psychologiques ,métaphysiques,économiques et productif .
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La structure fonctionnelle de l’entreprise
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La fonction de production
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La fonction commerciale
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La fonction financière
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La fonction administrative
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La fonction recherche et développement
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La fonction du personnel / la gestion des ressources humaines
Informatique de commerce dits l'e-buisiness :
Définir la manière la plus philosophique informatique et juste possible la raison.
La notion d’e-business est cette question relativement récent. Il semble évident que le commerce sur Internet sera le principal vecteur commercial , du service , de la finance , le hardware informatique , le middle -ware du service Microsoft Active Directory ,Cisco Routing Server IP, le developpoment basées sur l'OPEN SOURCE , FACEBOOK et sa plate-forme de devoloppement sont les succes des siècle de l'informatique numérique qui vient de débuter.
Base sur une structure économique variés les buisiness plan sont variees mais sont monopole dans leurs secteur .
A comprendre que FaceBook controle les canaux échanges publicaitaires de communications des entreprises des biens de consommations courants qui representent un énorme pouvoir car Facebook peut échanger des informations a n'importe quel lieu dans le temps technologiques et geographiment sans limites pour les humains ces échangent
information constitue un capital important pour Facebook .
FaceBook invente le marketing de réseaux numériques ce constant effort de sa part permet aux entreprises de trouvers des nouvelles par de marché et constitue un double avantages aux niveaux des entreprises quels soit jeunes et anciens dans le secteur ou en tant que consommateur vous tiens informer des produits que vous aimez qui vous plaisir que vous ressenter que le produits de votre besoin peut évoluer et sans avoir a faire l' effort de passez command aux travers d'un site sécurisé l'acheter par un serveur de marché d'achat que vous connaissez tous ........... FACEBOOK .Le manque d'opportunité des dirigeants de FACEBOOK A FAIRE COMME GOOGLE SUR LE REFERENCER , FAIRE LE SERVICE DE LIAISIONS D ACHAT PAR FACEBOOK .
La vente d'espace publicitaire , les sites web ont des partenairaits avec d'autres sites comme le geant de l'informatique americain google en proposant des solutions de réferencement mais elle adopte plusieurs stratégie de groupe globale de mondialisation de livre a travers google book mais aussi a sa documentation philosophiques , psychologiques , méta-psychologique , etc......
Il n’en reste pas moins vrai que le commerce « traditionnel » n’est certainement pas appelé à disparaître mais que les grandes entreprises devront simplement s’adapter à de nouvelles techniques de communications. Internet ou pas, les principales régles qui garantissent la réussite en affaires demeurent les mêmes tous contrôler le dis la lois MACRON voir GRAND , HAUT , PLUS LOIN QUE SON NEZ , PLUS LOIN QUE SA METAPHYSIQUE .
Faire des transactions de type e-business, c’est avant tout réaliser des échanges via des structures connectées électroniquement entre elles. Ce commerce électronique peut alors se définir comme l’ensemble des échanges électroniques liés aux activités commerciales et il recouvre toute opération de vente de biens et services via un quelconque canal électronique. De la sorte, Internet n’est donc qu’un support parmi tant d’autres du e-commerce au même titre que le Minitel en France ou que la Pay-tv pour la télévision.
De nombreux experts économiques s’accordent aujourd’hui pour définir la notion d’e-business comme une réponse au phénomène de mondialisation. Dans ce cadre particulier, l’e-business permet de traiter de manière permanente les diverses relations des entreprises avec leur environnement en faisant appel aux nouvelles technologies de l’information et de la communication ( NTIC ).
La mondialisation, c’est un ensemble de phénomènes d’ordre économique, financier, politique, technologique, communicationnel ou environnemental qui prennent une dimension planétaire. Le globe se couvre inéluctablement de réseaux multiples de production, de distribution, de services, d’information, d’investissements, de trafics, sorte de maillage complexe, de marché ouvert où l’information est instantanée et qui échappe de plus en plus à la maîtrise des gouvernements et des Etats.
De manière complètement générique, le terme de mondialisation désigne à la fois un processus historique par lequel des individus, des activités humaines et des structures politiques voient leur dépendance mutuelle et leurs échanges matériels autant qu’immatériels s’accroître sur des distances significatives à l’échelle de la planète, et les résultats d’un tel processus.
Le terme « mondialisation » décrit l’accroissement des mouvements de biens, de services, de main-d’œuvre, de technologie et de capital à l’échelle internationale. Bien que la mondialisation ne soit pas un nouveau phénomène, son rythme a augmenté grâce à la venue des nouvelles technologies, particulièrement dans le domaine des télécommunications.
La mondialisation actuelle est un ensemble de principes idéologiques, de conceptions théoriques et d’institutions et mécanismes ( tels que l’Organisation Mondiale du Commerce, le Fonds Monétaire International, la Banque Mondiale...) fondé sur la primauté de trois pouvoirs :
- le pouvoir du marché, représenté par le fait que le marché est considéré comme le dispositif principal pour la régulation efficace de l’allocation des ressources disponibles locales et mondiales
- le pouvoir de l’entreprise, du fait que celle-ci est élevée au rang d’acteur n° 1 ayant la maîtrise du champ productif et donc la responsabilité du bien-être économique et social de la population
- le pouvoir du capital, qui est attribué à ce dernier du fait que celui-ci est considéré comme le paramètre de définition de la valeur, ce qui donne à l’objectif de la maximisation du profit de capital le statut d’objectif prioritaire et donc parfaitement légitime.
Ces trois pouvoirs tirent leur légitimité uniquement du fait que leur fonction est d’être au service de la maximisation de l’utilité individuelle des agents « économiques » ( le producteur, le consommateur, l’actionnaire ), et par la justification qu’ils donnent à la lutte pour la survie entre intérêts individuels conflictuels ( d’où le principe de competitivite grâce à l’utilisation de la science et de la technologie dans une logique de substitution des processus, des produits et des services existants ).
La mondialisation ou la globalisation désigne principalement l’accroissement du niveau des différents échanges commerciaux internationaux de biens et services. Ce phénomène économique est quasi continu depuis la fin de la seconde guerre mondiale et, si l’on fait bien entendu abstraction de la période de l’entre-deux-guerres, il est présent depuis deux ou trois siècles dans la plupart des pays occidentaux.
Une statistique de l’Organisation Mondiale du Commerce révèle que le commerce des marchandises a été multiplié par 16 entre 1948 et le début de ce siècle.
L’activité commerciale internationale semble de plus en plus opposer dans une lutte commerciale ( certains parlent même de véritable guerre… ) impitoyable l’hémisphère Nord dans lequel se concentrent tous les pays riches et l’hémisphère Sud dans lequel se trouvent la plupart des pays pauvres de notre planète. En fonction de leurs situations géographiques et / ou de leurs histoires nationales respectives, de nombreux pays présentant des intérêts communs se sont regroupés pour mieux faire face à l’évolution de la structure des échanges commerciaux.
la compréhension exacte de ce phénomène d’alliance objective, les économistes parlent de l’existence de différents blocs économiques dont voici les principales caractéristiques
Le progrès technique
De nos jours, l’attitude à l’égard du progrès technique reste ambiguë. Personne ne se déclare ouvertement contre le progrès, mais en s’opposant à ses différents excès n’est ce pas le progrès lui-même que l’on refuse ? Ce qui semble certain, c’est qu’un pays qui refuserait le progrès technique s’orienterait très rapidement vers le déclin économique. Il ne s’agit pas seulement pour un pays de gagner une compétition contre les autres pays, mais pour tous d’économiser sur la nature. C’est bien là le rôle du progrès technique, accroître les fruits de l’activité économique tout en épargnant la peine des hommes et les ressources de la nature. Comme dit Jean Fourastier : " Le progrès technique n’apporte automatiquement ni le progrès intellectuel, ni le progrès moral. Il n’apporte ni le bonheur, ni la sagesse. Il apporte seulement le progrès économique. Le progrès technique ne peut être une fin, il est seulement un moyen. " Il est le moyen de nous débarrasser de tout ce qui est purement matériel, de tout ce qui est mécanique pour mieux nous occuper de l’humain et rendre à celui-ci la seule place qu’il mérite : une place centrale !
Le salaire réel n’a cessé d’augmenter depuis la Révolution industrielle ainsi que le « degré de civilisation ». La création de la Sécurité sociale dont la nature est d’être un salaire indirect, perçu sous forme d’assurance, les réajustements salariaux de 1945, de 1972 et de 1974 principalement, le rôle de l’indexation ont permis une élévation du mode et du niveau de vie sans précédent: plus du décuple de ce qu’ils étaient au milieu du XIXe siècle. Seule la moyenne individuelle présente une croissance continue. Le partage des produits de cette croissance est affaire de pouvoir, de domination, de rapports de force. L’évolution observée constitue celle d’un indice du bien-être accessible à tous.
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une production de masse qui permet de satisfaire au mieux les besoins les plus simples
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une organisation de la vie collective en société urbaine
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des habitudes politiques démocratiques
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une sécurité sociale développée
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un commerce international très développé
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un produit intérieur brut élevé ( PIB = la valeur de tous les biens et services produits dans une année à l’intérieur des frontières d’un pays, selon leur valeur marchande )
Le discours actuellement en vogue ne cesse de plaider pour la nécessité d’ouvrir rapidement les marchés des pays en développement. Les voix se prononçant dans ce sens comptent toutefois certains absents : les pays les plus pauvres de la planète eux-mêmes, regroupés dans le G 90. Réunis en décembre à Bruxelles, ces derniers appelaient d’ailleurs à prendre en compte les conséquences négatives d’une libéralisation non maîtrisée dans le secteur agricole. Comment expliquer ces réserves des pays les plus en difficulté ? Sans doute ont-ils perçu que la relation entre le commerce mondial et la fracture Nord-Sud relève d’un mécanisme plus complexe que ne le voudrait une logique manichéenne opposant le Bien (les "pays pauvres spoliés") et le Mal (les "pays riches protectionnistes"). ( … )
La course à la productivité engendrée par cette situation nouvelle n’est en outre pas exempte d’effets pervers. Pour parvenir à rivaliser avec des prix de plus en plus proches des cours mondiaux, qui sont pour la plupart des cours de bradage, les pays les plus pauvres sont incités à concentrer leur production sur un nombre restreint de produits, exclusivement voués à l’exportation. Divers exemples montrent que le développement de monocultures s’accompagne d’un abandon rapide des cultures vivrières traditionnelles et d’une dépendance croissante et dangereuse à l’égard des importations de produits de base nécessaires à l’alimentation des populations locales.
Les conséquences sont particulièrement dramatiques pour les Etats qui n’ont pas grand-chose à exporter, et dont tout espoir de subsistance passe par le maintien de leur agriculture vivrière, désormais menacée par la concurrence des pays les plus puissants (Etats-Unis, Europe, Argentine, Malaisie, etc.). L’exemple de la production de poulets au Sénégal, anéantie par la force des exportations brésiliennes, en est le révélateur et démontre le besoin absolu de protéger ce type d'agriculture, le temps nécessaire à sa consolidation.
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instabilité de la monnaie nationale
Comme dans plusieurs pays de la région, l’économie équatorienne était déjà « dollarisée » de fait, à cause de l »instabilité de la monnaie nationale et la forte dépendance extérieure. Les dévaluations successives du sucre ne parvinrent jamais à stimuler les exportations, dans un pays soumis aux aléas des prix internationaux des produits primaires. Lorsque le président Mahuad décréta la flotabilité du taux de change avec le dollar ( en février 1999 ), ce dernier entama une chute vertigineuse – passant de 8.500 à 19.000 sucres entre mai et novembre –, jusqu’à ce qu’il soit décidé unilatéralement de le fixer à 25.000 en janvier 2000, pour passer à la dollarisation officielle.
un bureau d’études belge spécialiste dans les enquêtes en ligne et les sites web, a sondé les internautes de notre pays. Cette enquête permet donc aujourd’hui de mieux cerner le profil type et les habitudes de navigation de l’internaute belge.
Les chiffres sont clairs : les internautes belges sont chaque mois un peu plus nombreux sur la Toile. En effet, pas moins de six Belges sur dix surfent sur internet, ce qui représente une augmentation de 3% par rapport à il y a six mois à peine. Si on compare ces chiffres avec ceux obtenus chez nos voisins, on constate que la Belgique se trouve ainsi dans la moyenne européenne. Outre cette augmentation du nombre de surfeurs, à quoi ces nouveaux spécimens ressemblent-ils ?
Dans notre pays, l’internaute est relativement jeune : la tranche d’âge des 15-24 ans représente encore la grande majorité des utilisateurs du net. Chez nous toujours, les hommes sont plus nombreux que les femmes. On constate également une différence entre les régions : les néerlandophones sont davantage connectés que les francophones. Un autre facteur spécialement déterminant de l’usage de l’Internet est le niveau d’étude atteint : il est très courant pour des personnes ayant fait des études supérieures d’utiliser la Toile, ce qui n’est pas vraiment le cas pour les personnes qui n’ont pas terminé leurs études secondaires.
Les activités les plus populaires restent encore : l’envoi d’e-mails, la recherche d’itinéraire routier, la gestion du compte en banque en ligne et la recherche d’information sur l’un ou l’autre sujet. Il ressort du même rapport qu’outre la messagerie instantanée et le « chat », le mail reste l’outil maître de la communication numérique entre internautes. Ici, les adresses e-mail gratuites se taillent la part du lion : plus de 75 % des internautes belges disposent d’une telle adresse e-mail.
Enfin, l’internet sans fil est en plein boum. Alors qu’en 2005, seuls 15 % des utilisateurs avaient une connexion sans fil, ce chiffre atteint pas moins de 40% en 2007. Ce phénomène est bien entendu directement lié à la croissance du nombre d’internautes.
Statistiques en hausse donc pour les connectés belges. À suivre dans les rapports d’InSites qui renouvelle son enquête tous les six mois.
Démarches des entreprises sur le web
L’apparition des entreprises sur le web est un phénomène relativement récent. Dans un premier temps, et en attendant de mieux connaître et donc de mieux maîtriser le potentiel commercial et stratégique exact d’internet, certaines entreprises se contentent simplement d’afficher quelques pages sur le web. Ce type de site, très souvent sommaire, se limite généralement à mettre en pages diverses informations comme :
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des rapports annuels
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un organigramme de la structure dirigeante
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des brochures
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des communiqués de presse
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des présentations de produits,…
Ce genre de site reste par conséquent très modeste et ne demande pas de connaissances approfondies en informatique ni de budget important. Il s’agit donc habituellement d’un outil primaire qui présentent de nombreux défauts. Il donne en définitive une image assez peu dynamique et positive de l’entreprise… mais c’est un outil qui a au moins le grand mérite d’exister ! Aussi, dans la grande majorité des cas, il faut tout simplement y voir les prémices de ce qui va bientôt constituer une réelle approche e-business de l’entreprise.
La seconde étape beaucoup plus importante dans laquelle l’entreprise cherche à intégrer au mieux l’outil Internet dans sa stratégie commerciale globale. Les divers avantages deviennent dés lors évidents pour un ensemble de fonctions ou de services de l’entreprise :
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le service marketing voit en Internet un précieux outil de vente et de fidélisation des différents clients au moyen, par exemple, d’envois d’e-mail personnalisés
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le service achat utilise Internet pour rechercher de nouveaux fournisseurs ou pour développer les relations commerciales avec les fournisseurs existants
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la direction des ressources humaines ( = service du personnel ) en profite pour attirer des éventuels candidats pour pourvoir à un poste de travail
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la fonction administrative peut instantanément accéder à certaines informations qui se trouvent disponibles sur les différents sites officiels et privés
Internet constitue de la sorte un nouvel espace commercial sur lequel se positionnent principalement les différentes entreprises des secteurs suivants :
L’industrie du tourisme et des voyages
Ce secteur vit par la seule distribution des diverses informations qui sont en sa possession. Internet est alors perçu comme un outil qui perturbe les filières classiques de transmission de cette information. Les interrogations sont multiples :
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quel sera exactement le comportement du candidat-voyageur ?
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va-t-il continuer à réserver ses vacances ou ses billets d’avion via son agence de voyage ou au moyen d’Internet ?
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l’investissement informatique est-il trop important
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les nombreuses chaînes thématiques
Les agents économiques présents sur le web, on peut notamment citer presque toutes les compagnies aériennes, les agences de voyage, les tours opérateurs, les hôtels, certains restaurants ou bien encore les sociétés de location de voiture.
Les grands journaux ont clairement affiché leurs ambitions dans ce domaine bien particulier : jouer un rôle important dans la diffusion d’informations sur Internet. Cette stratégie commerciale agressive présente néanmoins un inconvénient de taille : Internet n’est-il pas en train de tuer le journal papier ? En d’autres termes, le net pour les grands journaux est-il un produit complémentaire ou un produit de substitution ? Même si la question mérite en effet d’être posée, il semble bien que la désaffection toujours plus importante des lecteurs de journaux ne semble pas réellement causée par un quelconque transfert de ceux-ci vers l’outil Internet.
il faut bien reconnaître que l’information disponible sur le net est sensiblement différente de celle qui peut être lue sur journal papier :
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le contenu est immmédiatement accessible
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la mise à jour est un critère essentiel
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le contenu est beaucoup plus concis
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la réflexion est généralement absente au profit de la seule information directe
Autres grands acteurs qui composent le monde des médias, les chaînes de télévision et les radios sont également très présentes sur le net. Toutefois, il ne s’agit généralement pas de médias à part entière mais plutôt de simples outils de promotion pour un autre média. Dans ce cadre très spécifique, seuls les sites les plus importants arrivent à attirer les annonceurs payants, les radios semblant particulièrement actives dans ce domaine.
nordine